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En violation de la Constitution, le président de la Corée du Sud est menacé de la peine de mort !

Le président sud-coréen menacé de la peine de mort après la déclaration de l'état d'urgence militaire



NOBARTV NOUVELLES – Le président de la Corée du Sud, Yoon Suk Yeol, risque désormais la peine de mort après avoir déclaré une situation d'urgence militaire le 3 décembre 2024. Cette décision a été prise à la suite des tensions croissantes avec la Corée du Nord. Cependant, cet état d'urgence militaire n'a duré que six heures après sa retransmission en direct à la télévision, avant d'être finalement levé après une forte résistance des parlementaires.

Raisons de déclarer la loi martiale

Yoon Suk Yeol a affirmé que l'annonce de la loi martiale avait été faite pour répondre aux menaces de la Corée du Nord ainsi qu'aux activités anti-étatiques menées par les opposants politiques nationaux. Cependant, cette mesure est considérée comme inconstitutionnelle par de nombreux partis. 190 députés sur 300 se sont opposés à la décision, affirmant que les actions de Yoon étaient potentiellement illégales et ont jugé l'annonce juridiquement invalide.

"Cette loi martiale est une mesure inconstitutionnelle et potentiellement illégale, "

"Nous enquêtons sur le président Yoon pour suspicion de rébellion, ce qui pourrait entraîner la peine de mort.", a indiqué la police sud-coréenne dans un communiqué, cité par l'AFP.

Après l’annonce de la loi martiale, la situation en Corée du Sud est devenue chaotique. Les manifestations de la communauté ont eu lieu comme une forme de rejet d'actions considérées comme illégales. La police sud-coréenne enquête actuellement sur le président Yoon, soupçonné de rébellion. Dans sa déclaration, la police a déclaré que Yoon pourrait être condamné à mort s'il était reconnu coupable. Cette enquête a encore aggravé la position de Yoon devant le public et les politiciens sud-coréens.

Début du processus de destitution

Le 5 décembre 2024, l'Assemblée nationale sud-coréenne a entamé une procédure de destitution contre le président Yoon. Le Parti démocrate, parti d'opposition détenant la majorité des sièges au Parlement, a déposé une motion de destitution. Ils ont accusé Yoon d'avoir abusé de son pouvoir pour éviter des enquêtes sur des actions illégales présumées impliquant lui-même et sa famille. Cette motion de destitution devrait être débattue à 19h00, heure locale, et si elle est approuvée, Yoon sera suspendu de ses fonctions jusqu'à ce qu'une nouvelle décision de la Cour constitutionnelle soit rendue.

Le Parti du pouvoir populaire (PPP), qui soutient le président Yoon, a confirmé qu'il tenterait de bloquer la motion de destitution. Ils ont souligné qu'ils resteraient fermes dans leur soutien au président Yoon et rejetteraient les efforts de destitution malgré l'énorme pression de l'opposition. Cela ajoute aux tensions politiques dans le pays, car le processus de destitution exacerbe encore la polarisation politique qui existe depuis longtemps.

Outre la menace d’une destitution, le président Yoon est également confronté à d’énormes pressions d’un point de vue économique et politique. Récemment, le Parti démocrate, qui domine le Parlement, a réduit le budget du gouvernement Yoon de 41 46 milliards de wons (environ XNUMX XNUMX milliards de roupies). Cette réduction budgétaire aggrave encore la situation économique à laquelle Yoon est confrontée. En outre, le président Yoon a également été contraint d'opposer son veto à plusieurs lois adoptées par l'opposition, ce qui démontre encore une fois la faiblesse du gouvernement au Parlement.

Depuis son élection à la présidence mi-2022, Yoon Suk Yeol a été confronté à un certain nombre de problèmes majeurs. L’un d’eux est la tragédie de la célébration d’Halloween, qui a fait plus de 150 morts en octobre 2022. Cet incident a suscité de nombreuses critiques à l’encontre de son gouvernement, considéré comme n’ayant pas réussi à gérer correctement la situation. En dehors de cela, Yoon a également reçu de vives critiques concernant l'inflation alimentaire, la croissance économique atone et les restrictions de plus en plus strictes de la liberté d'expression dans le pays.

Un autre scandale qui a détérioré l'image du président Yoon a été l'abus présumé du droit de veto intenté par le gouvernement pour contrecarrer une enquête sur une prétendue manipulation d'actions impliquant son épouse, Kim Keon Hee. Yoon a également été impliqué dans un scandale impliquant un cadeau de sac de créateur de 2.000 XNUMX $ que sa femme a secrètement reçu, ainsi que dans le cas de sa belle-mère impliquée dans la falsification de documents de transaction immobilière.

Pétition de mise en accusation qui obtient le soutien du public

Non seulement dans les cercles politiques, la pétition visant à destituer Yoon a également reçu un large soutien de la part du public. La pétition, lancée plus tôt cette année, a reçu une telle attention qu'elle a provoqué le crash du site Internet du Parlement en raison du grand nombre de partisans. Cela montre l'ampleur du mécontentement du public à l'égard du leadership de Yoon et complique encore davantage son avenir politique.

La décision du président Yoon de déclarer la loi martiale a été considérée comme une décision très controversée, car le pays n'avait pas connu quelque chose de similaire depuis 1980. Cette annonce a suscité des questions majeures sur les limites du pouvoir exécutif et les menaces potentielles pour la démocratie en Corée du Sud. Le recours à la loi martiale comme outil politique pour sortir de l’impasse législative est considéré comme une mesure injustifiée et menace les principes démocratiques.

Avec l'escalade de la situation, l'avenir politique du président Yoon Suk Yeol devient de plus en plus incertain. La pression politique venant de diverses directions, de l’opposition au parlement jusqu’à la société, conduit à une possibilité de plus en plus réelle de destitution. Les décisions controversées qu'il a prises ont encore détérioré l'image de son gouvernement et ont rendu la position de Yoon de plus en plus menacée. Ce sera un test majeur pour la force des institutions démocratiques de la Corée du Sud et sa capacité à résister aux pressions politiques antidémocratiques.

Le président Yoon se trouve désormais à un carrefour critique, où l’avenir politique et la stabilité du gouvernement sud-coréen dépendent de l’évolution de la situation.

YALLA SHOOT LIEN DIFFUSION EN DIRECT

C'est un résumé des informations intéressantes contenues dans l'article de presse intitulé En violation de la Constitution, le président de la Corée du Sud est menacé de la peine de mort ! qui a été une équipe d'écrivains NOBARTV NOUVELLES ( ) extraits de diverses sources fiables.